UN CONCOURS DE PÊCHE A NOISEUX EN 1937

Le village de Noiseux, qui a la chance d’avoir une si belle rivière coulant à ses pieds, a vécu durant de nombreuses années au rythme de « l’Ourthe »  » et de ses pêcheurs.  Avant et après la Seconde Guerre Mondiale, dès les week-ends et les congés arrivés, bon nombre de pêcheurs liégeois empruntent le train et fuient la vallée Mosane pour s’évader d’un monde industriel et retrouver un lieu secret de quiétude.

Dés le début du 20e siècle, cet atout  touristique, le village a su l’exploiter.  Ce ne sont pas les  pensions de familles, hôtels, café-restaurants, snack-friteries, auberges liégeoises, épiceries et  campings qui le démentiront. Une navette était d’ailleurs organisée entre le village de Noiseux et la gare de Melreux. Les innombrables cartes postales et les nombreux guides touristiques de l’époque en sont des témoignages.

Récemment, j’ai  fait la trouvaille d’une ancienne photo d’un groupe de personnages. Celle-ci a été prise à Noiseux lors d’un concours de pêche qui se serait déroulé le vendredi 17 septembre 1937.

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Comme on peut le constater sur la photo, le public est très hétéroclite de par la présence d’enfants, de femmes et d’hommes. Sur la droite de la photo,  un bras tend un drapeau … un étendard, représentation d’une association de pêcheurs?

Je lance une nouvelle fois un appel aux nombreux lecteurs des versions écrite et numérique de la « Petite Gazette », afin de solliciter  leur perspicacité  pour retrouver les noms des personnages  de la photo.  Peut-être avez-vous aussi des photos, des souvenirs à partager  de cette période glorieuse de la pêche à Noiseux.

Noël Vanoverschelde

LA SOCIETE D’AUTOBUS BURNAY-COMBES A FORRIERES

Un chercheur britannique, Mr John Smith, fait appel à vos souvenirs et à vos documents pour compléter une recherche qu’il mène sur cette société d’autobus de Forrières.

Avec MM. Alain Canneel et David Ullens, deux fidèles de La Petite Gazette, Mr John Smith a dressé un historique succinct de cette société:

« La gare de Forrières fut ouverte en 1858.  A la même époque, les communes d’Ambly et de Nassogne furent reliées à Forrières par une malle-poste, exploitée par la famille Pellegrin, propriétaire de l’hôtel du même nom face de la gare de Forrières.

Au début de 1923, un service régulier d’autobus Forrières – Ambly-Nassogne fut confié par la commune à Maurice Burnay, originaire de Fauvilliers. Ce service, une des premières lignes d’autobus en Belgique,  remplaça la malle-poste. Maurice Burnay épousa Anna Pellegrin, avec qui il prit plus tard la gestion de l’Hôtel Pellegrin.  Il commença aussi un service d’autobus Forrières–Jemelle et d’autres lignes plus tard pour le compte de la SNCB.

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Cette photo de l’arrêt de l’autobus à Nassogne date approximativement de 1925.

En 1934, Maurice Burnay et ses frères ont gagné une grosse somme à la Loterie coloniale.  Maurice  a utilisé sa part pour acheter son premier autocar. Deux hangars pour autobus et autocars furent construits à droite de l‘Hôtel Pellegrin.

A l’exode de 1940, Maurice, sa femme et leur fille unique, Marie-Thérèse, ont fui avec au moins un des bus vers un village près de Montpellier, y exploitant même une ligne locale.  Pendant leur séjour en France, Marie-Thérèse rencontra un Français, André Combes et l’épousa. Lors leur retour en Belgique, après la libération, André seconda son beau-père Maurice dans son entreprise, puis lui succéda.

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Forrières – place de la gare – vers 1960

La firme conserva la dénomination Burnay-Combes jusqu’à sa reprise en 1991 par la s.a. Lambert-Bozet de Neufchâteau (Groupe Penning).  Cette dernière a toujours un dépôt à On, y exploitant des services liés par contrat à la TEC. »

Pour compléter et illustrer son travail, Mr John Smith est à la recherche de photographies des autobus et autocars de cette firme durant la période 1930 – 1970. Pourrez-vous l’aider ? D’ores et déjà, ce correspondant britannique vous remercie de votre précieuse contribution à sa recherche.

Voici le document transmis par M. J. Paquet  (voir commentaire ci-dessous)

NASSOGNE TICKET

La parution de cet appel aux lecteurs dans l’édition « papier » de La Petite Gazette du 17 août 2016 a attiré l’attention de Monsieur Luc Gabriel. Ce lecteur me permet de vous proposer de découvrir les documents ci-dessous:

En effet, m’écrit-il :« Je connais cette société car mon père en a été le gérant durant de nombreuses années, j’espère que ces documents pourront enrichir quelque peu les recherches de Mr Smith et, si jamais je fais d’autres trouvailles, je vous les ferai parvenir.

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Monsieur Maurice Trembloy, de Hargimont, a eu l’extrême gentillesse d’extraire de son incroyable collection de cartes postales de Nassogne, les deux intéressants documents que je puis vous présenter aujourd’hui.

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 En outre, mon correspondant nous communique cette information :

« J‘ai connu quatre chauffeurs des bus BURNAY, dans les années 1960.

Il s’agit d’André Combe, de nationalité française, de Charles Dermience (décédé), de Florent Bouchat (décédé), de Joseph Gabriel (décédé) et de François Hardenne
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Monsieur Maurice Trembloy m’a également raconté cette anecdote qu’il tient de son beau-père, qui fut sabotier.

« Au lendemain de la guerre, quand un bus Burnay ramenait au village un prisonnier de guerre qui rentrait via la gare de Forrières, le chauffeur indiquait la présence du soldat dans son bus en accrochant un drapeau aux couleurs nationales à son pare-choc.

Un habitant du village grimpait dans le clocher de l’église pour appréhender le plus rapidement possible l’arrivée du bus et de son passager tant attendu. Dès qu’il apercevait le drapeau, il faisait alors résonner les cloches de l’église afin que la population se rassemble pour accueillir l’enfant du pays qui rentrait après sa longue captivité. »

Un grand merci à M. Trembloy pour ses précieuses informations et ses intéressants documents.

LES AUTOMOBILES SPRINGUEL A HUY

CONNAISSEZ-VOUS CES SOMPTUEUSES VOITURES CONSTRUITES A HUY AVANT 1914 ?

Monsieur Henri Delgoffe, de Villers-le-Bouillet, s’adresse à vous dans l’espoir de réunir des informations pouvant contribuer à la concrétisation d’un ambitieux projet. Il vous explique :

« Nous sommes une association d’amateur de voitures anciennes regroupés au sein de l’ASBL Autoretromosan et, avec des membres de la famille du constructeur et quelques historiens, nous avons comme projet de reconstruire une automobile Springuel (modèle de course).

Springuel 1912

Springuel 1912

Ces voitures, aussi bien sportives que luxueuses, ont été construites à Huy entre 1907 et 1914. Les sportives ont remporté de nombreuses courses comme la course de côte de Huy, le GP d’Ostende, le GP de Spa ou le Grand prix de Rosario en Argentine. Quant aux véhicules de luxe, ils ont fait le bonheur, entre autres, du Notaire Schoguel de Ciney, du notaire Kleiderman de Liège, du bourgmestre de Blankenberghe, du Baron de Garcia de la Vega, de Namur, du Comte d’Aspremont de Barvaux, du Baron de Radtzytsky d’Ouffet, de  la famille Zurstrassen de Verviers, de la famille Delloye de Huy, de la famille de Lamine de Herve, de la famille de Pierpont, du baron Poswick et d’autres, en Angleterre, en France, en Argentine etc. L’Ecole des Arts et Métiers de Bruxelles en possédait une également.

Au début de la guerre 14-18, Jules Springuel (le constructeur) a refusé de collaborer avec l’occupant. Les Allemands se sont alors emparés de toutes les voitures finies, de celles en cours de construction, des pièces détachées, des plans etc. et les ont envoyés en Allemagne par chemin de fer pour une destination qui nous est inconnue.

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A notre connaissance, des plus de 1000 voitures construites, il ne reste aucun exemplaire. C’est pour cela que nous faisons appel aux lecteurs de La Petite Gazette pour que, s’ils possédaient le moindre document, la moindre pièce, la moindre photo, la moindre information ils nous en fassent partager la connaissance. »

Plus d’informations sur les voitures sur le site: http://www.springuel.be

Mon correspondant précise que « la Gazette de Huy, qui a été la propriété d’Eugène Godin autre grand industriel de Huy, racontait tous les évènements de la ville de Huy et a probablement relaté le sac des usine Springuel par les Allemands et l’embarquement du patrimoine Springuel dans le train pour l’Allemagne. Cet épisode nous intéresse particulièrement pour connaître la destination du train. » Si l’un ou l’autre lecteur lisant ces lignes possèdent des exemplaires de ce journal, il serait vraiment précieux qu’il puisse vérifier si les documents en sa possession ne mentionnent pas des informations qui pourraient se révéler capitales pour la suite du projet évoqué par Monsieur Henri Delgoffe.

Voici encore une remarquable occasion de rappeler l’extraordinaire passé industriel de nos régions ; si vous le pouvez, n’hésitez surtout pas à y contribuer.

 

Je me suis évidemment plongé dans les archives de La Petite Gazette car je savais que le sujet y avait déjà été abordé. Voici ce que j’y ai retrouvé…

Dans La Petite Gazette du 26 août 2005, Monsieur Martin Huwart, de Ville-au-Bois, avait présenté une photographie de la berline Imperia de son arrière-grand-père, Edouard Huwart.

La voiture, précisait mon correspondant, avait été carrossée par les frères Gamette, de Liège ; puis il ajoutait que « son fils aîné, Maurice, ayant épousé une hutoise, devint actionnaire des Automobiles Springuel, qui fusionnèrent avec Impéria après 1911. Je possède le catalogue de l’époque et l’avance technique des autos Springuel était impressionnante. Je crois qu’elles ont gagné une belle liste de compétitions.

 La Petite Gazette du 16 septembre 2005

AU SUJET DES AUTOMOBILES SPRINGUEL

C’est M. Huwart, de Ville-au-Bois, qui a récemment évoqué cette marque ; M. Hervé Springuel, un descendant de cette famille de constructeurs, apporte quelques éléments et fait, à son tour, appel à vous et à votre documentation et à vos connaissances.

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« Je fais partie de la famille des constructeurs et suis évidemment intéressé par toute documentation concernant ces voitures.

Malheureusement, à ma connaissance, il n’existe plus de châssis visible.

Les voitures Springuel ont effectivement gagné de très nombreuses courses.

Pour le plaisir des lecteurs, je joins ces photographies extraites d’un catalogue de l’année 1913 prouvant ces succès.

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 Lamarche sur 12 HP Springuel, classé premier dans toutes les épreuves d’Ostende, Calais, Boulogne et Le Touquet. Gagnant de la Coupe de l’Automobile Club de Boulogne.

La Société des Automobiles Springuel, absorbée par l’exécution de commandes importantes dont la livraison ne souffrait aucun retard, ainsi que par l’installation et l’organisation de nouveaux ateliers, ne put prendre part à aucune course en 1912. Il faut toutefois remarquer que les temps et rendements établis par les voitures Springuel en 1911 ne furent pas battus en 1912 et l’on peut en conclure que si ces voitures avaient pris part aux courses cette année-là, elles auraient triomphé comme les années précédentes, ce qui est d’ailleurs confirmé par leurs brillantes victoires de 1913. springuel 3

Coupe de la Meuse 1913. L’équipe des 3 voitures Springuel victorieuses. Au centre, Durtal, 1er du classement général (Course), à droite, Gallis, 2e du classement général (Course), à gauche, Klinkhamers, 1er du classement général (Sport)

En 1913,

Meeting de Huy : 6 premières places. Une 12 HP Springuel (75 X 120) atteint la vitesse de 122 Km. à l’heure.

Rallye Automobile d’Ostende : une seule voiture engagée se classe première du classement général des voitures de course et obtient le meilleur rendement de la journée.

Meeting d’Ostende :  3 premières places.

Course de Béthane : Coupe de la Meuse, voitures de course. Classement général : 1er Durtal sur 12 HP Springuel, qui gagne la Coupe de la Meuse en escalandant la terrible côte de la Baraque Michel à plus de 93 Km. à l’heure et obtient un rendement de 200 points (record). 2e Gallis sur 12 HP Springuel, à 9O,5 Km. à l’heure et obtient 193,6 points. Le concurrent classé immédiatement après obtient 165 points.

Voitures de sport, classement général : 1er Klinkhamers sur 12 HP Springuel, à une vitesse de 83 Km. à l’heure, avec un poids de plus de 1200 kilos et qui obtient 179,6 points et gagne la Coupe de l’Automibile Club Verviétois. Le concurrent classé immédiatement après obtient 143,2 points.

Toutes les informations peuvent m’être communiquées par mail springuel.expert@skynet.be »

Y A-T-IL EU UN EMBARCADERE A LOGNE?

Le remarquable site du château fort de Logne attire de nombreux visiteurs et un excellent accueil leur est réservé. Toujours dans le souci de mieux faire connaître cet extraordinaire témoin de notre patrimoine historique et de permettre à tout qui le visite de bien comprendre l’animation a été la sienne et le rôle qu’il a tenu jusqu’à sa destruction, une équipe travaille à la mise en place d’un sentier de découverte autour du château fort, ce sera le Circum Castellum ».

Madame Alice Henning qui travaille à la réussite de projet vous explique en quoi vous pouvez être très utiles : « Différents points d’intérêt que nous aimerions présenter au public ont d’ores et déjà été sélectionnés (grotte sous le château, pelouse calcaire, petit anticlinal, ancien village de Logne, voie à ornières…), parmi ces points : le fameux « embarcadère ».

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La première question est de savoir s’il s’agit bien d’un embarcadère. Il est situé au bas du château de Logne en bord d’Ourthe au lieu-dit Champoûtre.

(N.D.L.R. Il me semble que ce toponyme mériterait également d’être analysé… Parmi les passionnés de toponymie qui lisent ces lignes, s’en trouvera-t-il un qui pourra nous éclairer à ce propos ?)

 

 

 

André Nelissen parle d’un chemin de Halage dans son ouvrage « Mille ans de navigation sur l’Ourthe et ses affluents » à la p. 185. L’embarcadère aurait été fabriqué avec les pierres du puits du château fort démoli en 1521.

(N.D.L.R. Vu la taille de ces pierres, je serais fort surpris que l’on puisse leur attribuer pareille origine… Les dimensions du puits, sa profondeur et surtout la « qualité » des outils employés pour le creuser n’ont certainement pas dû permettre d’en extraire des pierres de pareille dimension…)

Une autre question est de savoir de quand il date. Est-il contemporain ou antérieur à la maison éclusière et à l’écluse non achevée? Tout deux sont construits dans le contexte du projet de canalisation de l’Ourthe à quelques dizaines de mètres en amont. Il serait également intéressant de savoir ce que l’on embarquait. D’avance, je remercie chaleureusement tout qui pourra nous apporter quelques éléments  permettant de faire progresser cette recherche. »

J’espère que vous vous passionnerez pour cette recherche car elle devrait se révéler passionnante.

La Petite Gazette du 24 août 2016

Y A-T-IL EU UN EMBARDERE AU PIED DE LA FORTERESSE DE LOGNE ?

Vous vous souvenez de la question que vous posait alors l’équipe chargée de développer encore l’attrait de ce remarquable site et qui veut développer un circuit pédestre aux alentours du château.

Monsieur Georges Donneaux, d’Angleur, apporte quelques précisions :

« Cet embarcadère, je pense, servait à charger du minerai sur de grosses barques à destination du bassin liégeois. Je pense aussi qu’il y avait déjà un point de chargement avant les travaux de canalisation de l’Ourthe.

Ce sentier était un chemin de halage construit sous la domination hollandaise. Il y avait aussi un barrage, aujourd’hui disparu – victime de fortes crues – et les bases d’une écluse face à la maison de l’éclusier. Ce chemin de halage était construit avec d’énormes pierres de taille « empruntées » au château fort. Certains détails ne laissent aucun doute là-dessus. Ces pierres pesaient de 100 à 4 àu 500 kg.

Hélas ce chemin a disparu il y a une vingtaine d’années ou plus car le temps l’a miné et il a été remplacé par un autre chemin fait de pierres et de béton. Etant originaire de Logne, j’ai parcouru ce site durant plus de 60 ans sauf par temps de crue car il était alors sous eau et y existait un courant très fort. »

OUTIL MYSTERE

OBJET CURIEUX… OBJET INSOLITE… OBJET MYSTERIEUX

Monsieur Bernard Renson m’écrit d’Espagne pour vous interroger sur un outil ancien qu’il possède. Mon correspondant, avant d’émigrer vers le soleil, habitait Haillot-Ohey ; il est resté le collectionneur acharné qu’il était déjà, surtout pour tout ce qui touche aux ardoisières.

Il vous présente une photographie de cet objet dont il espère que vous pourrez lui préciser l’usage, le nom…

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Et en vue rapprochée maintenant…

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Sur la photo suivante, le même ustensile est placé entre deux « osteyes » utilisés pour l’extraction de terre plastique de la région d’Andenne, car ce lecteur y voit un léger degré de ressemblance….mais sans plus.

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Monsieur Renson espère de tout coeur que vous pourrez éclairer sa lanterne et vous en remercie d’ores et déjà

 

POURREZ-VOUS LOCALISER CES LIEUX?

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PHOTO AERIENNE A LOCALISER

Voici la demande de M. Jules Paquay: « Une fois encore , je me permets de solliciter la sagacité légendaire des lecteurs de La Petite Gazette afin d’identifier le lieu dévoilé par une photo aérienne. Cette photo présente une dizaine de bâtiments à proximité d’un autre ayant plus de caractère et qu’on pourrait assimiler à un château. Une mention manuscrite figure au dos de la photo indique « Les cherras – Houffalize. » Or il ne s’agit pas du tout de ce lieu que je connais très bien pour être situé à 10km de chez moi.

Je possède une autre photo aérienne de même facture acquise récemment et qui présente justement la propriété du château des Cheras à Houffalize. La mention manuscrite figurant au dos de ce document propose « Harzé », ce qui est aussi une erreur.Afin d’essayer de résoudre cette énigme et supputant un possible échange de description de paysage, j’ai via Google map visité en vue aérienne le château de Harzé et ses alentours. Je suis hélas resté sur ma faim, car il n’y a aucune ressemblance avec la photo-mystère.

J’espère qu’au moins un  lecteur pourra élucider l’énigme en reconnaissant le paysage révélé par cette photo et l’en remercie déjà.