Le Docteur Comte Albert Guérisse

La Petite Gazette du 27 janvier 2010

ENCORE A PROPOS DES AS BELGES DE L’AVIATION
Cette fois, c’est Monsieur Rik Goyens, Capitaine-Commandant TSM e.r. de Chevron, qui réagit et complète :
« Aux officiers belges Charles Roman et Florent Van Rolleghem que Jacques Bastin cite parmi les détenteurs de la prestigieuse distinction honorifique britannique Distinguished Service Order, il convient d’ajouter le Médecin Général-major Albert Guérisse, l’officier belge, le plus décoré de la deuxième guerre mondiale. Il reçut 35 décorations de différents pays, dont la D.S.O. (Distinguished Service Order), la G.C. (George Cross) et la K.B.E. (Knight Commander of the British Empire).DSO

Le Dr Guérisse (1911-1989) créa dès le début 1941 sous le pseudonyme de Pat O’Leary un réseau d’évasion de pilotes alliés. Durant les années 1941 et 1942, cette filière rapatria plus de 600 réfugiés vers l’Angleterre en passant par l’Espagne. Le 2 mars 1943, le Dr Guérisse fut arrêté à Toulouse et torturé dans différentes prisons en France; il passa dans les camps de concentration les plus réputés, pour atterrir en 1944 à Dachau. Il y est torturé à nouveau et condamné à mort, mais avec son ami, Arthur Haulot, il y organise la résistance et prend le commandement du camp lors de la libération par les Américains (29 avril 1945).
Après la guerre, le médecin militaire, Albert Guérisse rejoint l’armée belge. En avril 1951, lors de la guerre de Corée, le Major Médecin Guérisse se distingue particulièrement par sa bravoure en tant que médecin.
Le 1er juillet 1970, le Dr Albert Guérisse termina sa carrière militaire avec le grade de Médecin Général-major, en tant que Directeur Général du Service de Santé Interforces.
Le 26 mars 1989, le Comte Albert Guérisse meurt à Waterloo à l’âge de 77 ans, avec pour dernière requête que sa mort ne soit rendue publique qu’après son enterrement, ne souhaitant pas que l’on fasse trop de bruit autour d’un homme « qui avait simplement fait son devoir ». »
Pareil personnage méritait bien que ses éminents mérites soient rappelés !

La Petite Gazette du 10 février 2010

LE DOCTEUR GUERISSE
Madame Marie-Paule Schutz-Adam, de On, me dit tout le plaisir qu’elle a eu à découvrir l’évocation de ce personnage dans les colonnes de La Petite Gazette et elle voudrait nous apporter quelques précisions concernant Pat O’Leary.
J’ai eu la chance de rencontrer ce grand personnage fin des années 70 et début des années 80.
Je voudrais d’abord signaler que la famille Guérisse est originaire de Saint-Hubert où un mémorial à sa mémoire a été inauguré en 1991.
Albert Guérisse voit le jour le 5 avril 1911 à Bruxelles. Il est médecin militaire et agent secret.
Deux livres racontent ses aventures. En 1980 il m’a d’ailleurs offert et dédicacé le second « l’histoire de Pat O’Leary » qui a été écrit par Vincent Brome (écrivain anglais 1910-2004) à qui Pat a raconté ses mémoires. Ce livre a d’abord été traduit en anglais et est paru en français dans une collection de Pierre Mac Orlan « Visages de l’aventure », Livre contemporain Amiot-Dumont. J’ai mis plus de 20 ans à trouver le premier livre « HMS Fidelity » (bateau mystère) bateau « Le Rhin » qui a été rebaptisé « HMS Fidelity », on parle aussi parfois de la dénommination « Le Rhône ». Ce livre a été écrit par Marcel Jullian. (Pour ceux que cela intéresse je signale qu’on peut trouver ces livres dans des brocantes militaria.)
Le réseau Pat O’Leary a permis de rapatrier 600 réfugiés mais principalement des aviateurs vers l’Angleterre. Il a pris le commandement du réseau Pat O’Leary, réseau appelé aussi Pat Line en décembre 1941, quand Ian Garrow, un officier écossais du SOE (Special Operations Executive) a été arrêté.
Après l’arrestation du Dr Guérisse en octobre 1943, c’est une dame, Marie-Louise Drissart alias Françoise, qui en prend le commandement et le réseau devient alors le réseau Françoise.
Après son arrestation il a connu les camps : Sarrebruck, Monthausen, Natzweiler et Dachau. Dans ce dernier, il cache son identité de médecin et travaille comme infirmier avec Arthur Haulot, journaliste qui deviendra Commissaire au Tourisme. Ils échappent au typhus.
Ils créent un Comité International des Prisonniers, avec Arthur Haulot président pour les Belges et Pat président pour les Anglais. Ils sauvent la vie de 5000 déportés.
En 1951, il part en Corée comme volontaire en tant que médecin-major attaché à la 29e brigade britannique. Il a été, pendant les 25 dernières années de sa vie, président du Comité International de Dachau et s’est battu pour la création d’un mémorial pour que les futures générations n’oublient pas ce qui s’est passé. »

La Petite Gazette du 24 février 2010

LE DOCTEUR GUERISSE
Monsieur Claude Grandelet, de Somme-Leuze, revient sur le sujet pour apporter quelques précisions supplémentaires :
« Je pense qu’en ces temps de perte de confiance généralisée, il n’est pas mauvais de montrer que notre société sait encore reconnaître les mérites de gens exceptionnels qui l’ont servie d’une manière désintéressée. Du moins, elle savait encore le faire il y a peu d’années! C’est avec grand plaisir que j’ai lu dans une récente Petite Gazette l’éloge du Dr Guérisse, rédigé par Mme Schutz-Adam. Il ne me paraîtrait peut-être pas superflu d’ajouter que son courage, son énergie, ses qualités de chef, d’organisateur et surtout sa grande noblesse de coeur ont été largement reconnus par ses contemporains, chez nos Alliés peut-être encore plus qu’en Belgique.
Honoré de multiples hautes décorations, telles que la Plaque de Grand Officier de l’Ordre de Léopold (Belgique), de la George Cross et de la DSO britanniques, Officier de la Légion d’Honneur française, etc., il a bénéficié de l’estime générale et a passé le reste de sa vie entouré de collaborateurs dévoués, d’admirateurs et d’amis sincères. Il a terminé sa carrière à l’Armée Belge comme Général et Chef du Service de Santé, qu’il a d’ailleurs remarquablement réorganisé.
Il a été anobli successivement par la Reine d’Angleterre qui lui a donné le titre de Knight Commander of the British Empire et ensuite par le Roi Baudouin qui l’a fait Comte en 1986. »

La Petite Gazette du 2 juin 2010

A PROPOS DU GENERAL GUERISSE
Nous avons déjà évoqué cette figure, quasi légendaire, de l’Armée belge et sa brillante carrière intéresse bien des lecteurs. Monsieur Martin Huwart, de Ville-au-Bois aimerait que lui soient précisés certains détails.
« A propos du Général Guérisse, je m’interroge sur sa carrière, surtout ses affectations. Je pense qu’il a pu servir au 1er Lanciers à Spa, entre 1931 et 1939 ce qui expliquerait que mon père (Charles Huwart) le connaissait apparemment très bien.
Pat O’leary, son surnom de guerre, semble avoir été connu de ma mère, laquelle faisait partie d’une filière d’évasion d’aviateurs, dirigée par un Anglais ( ?).
La maison forestière de Ville-au-bois était un des relais. La seule chose que maman a bien voulu me raconter, c’est un épisode cocasse de 1943 (?).
Une patrouille allemande s’est présentée un jour d’été, alors que la maison était pleine d’une dizaine d’aviateurs. Parlant couramment allemand, anglais et néerlandais, Maman a intercepté les Allemands sur le devant de la maison, pendant que les aviateurs fichaient le camp par derrière. Elle leur expliquait l’importance des pommes de pin spéciales que ses parents lui avaient apportées d’Anvers, et qui lui servaient soi-disant de baromètres.
Je n’ai rencontré son « officier traitant » britannique qu’une seule fois en Provence, à Antibes. Il sortait d’un très beau yacht (30 m) et est passé devant nous qui prenions l’apéritif.
« What a surprise » dit-il, et ma mère de répondre « indeed », et ce fut tout… il continua son chemin !
Questionnée, elle me dit que si c’était à refaire, elle ne voulait donner aucune information sur ses contacts. Nous étions alors en pleine guerre froide.
Le comique, c’est que Papa, officier de l’AS, n’a jamais pu obtenir de maman des informations sur son activité, en dehors de l’anecdote de la pomme de pin.»

La Petite Gazette du 9 juin 2010

OUI LE DR GUERISSE EST BIEN PASSÉ PAR LE Ier LANCIERS A SPA
Ainsi que le supposait bien M. Martin Huwart, le Dr Albert Guérisse est bien passé par le Ier Lanciers à Spa. La confirmation m’en est venue du Dr Paul Maquet, d’Aywaille, qui ajoute pour tous ceux qui s’intéressent à cet illustre et remarquable personnage que :
« deux livres ont été écrits sur le Général Albert Guérisse sous les ordres duquel j’ai servi en Allemagne lors de l’occupation:
1. Marcel JULLIAN. H.M.S. Fidelity, bateau mystère, Bibliothèque Amiot-Dumont, 1956.
2. Vincent BROME, préfacé par Pierre Mac Orlan de l’académie Goncourt, L’histoire de Pat O’Leary, Le Livre contemporain Amiot-Dumont, 1957 »
Je suis certain que vous serez nombreux dans les semaines à venir à fouiller les bacs des bouquinistes à la recherche de ces deux ouvrages.
Un immense merci à M. Maquet pour sa fidélité à La Petite Gazette et pour sa promptitude à répondre aux questions qui vous sont soumises.

La Petite Gazette du 16 juin 2010

ENCORE A PROPOS DU GENERAL GUERISSE
Madame Marie-Paule Schutz-Adam de On, qui nous a déjà communiqué de bien précieux renseignements sur cet extraordinaire personnage, confirme que le docteur Guérisse faisait partie du 1er Lanciers, que le 10 mai 40 il se trouvait à la frontière allemande et que son régiment a été rappelé au Nord de Liège suite à la percée allemande sur le Canal Albert.
Monsieur Rik Goyens, Capitaine-Commandant TSM e.r., de Chevron, s’est également manifesté sur le sujet :
« Je voudrais confirmer, m’écrit-il, la présence au Régiment des 1er Lanciers à Spa du Lieutenant Médecin Albert Guérisse. En effet, ce régiment (créé en 1814 en tant que régiment de cavalerie légère) s’est installé dans la toute nouvelle caserne de Spa, en 1931. Le 10 mai 1940, le 1er Lanciers se trouva sur la frontière allemande et le lendemain, il fut rappelé au nord de Liège (Juprelle) pour défendre la position fortifiée, menacée par la percée allemande sur le Canal Albert. Attaqué durement par les Stukas, le régiment subit ses premières pertes, ce qui permit à Albert Guérisse de faire preuve de ses qualités d’officier et de médecin. »
Le Cdt Dourte, Offr Opérations 1/3L, s’est également manifesté : « Suite à votre article dans les Annonces de l’Ourthe de début juin, notre Offr patrimoine, le Lt Tinel (par ailleurs historien) a recherché rapidement la trace de la présence du général Guérisse au sein du 1 Lanciers. Il apparaît qu’il a été affecté au 1° Lanciers à Spa de 1937 à 1940 et également après guerre. Vous trouverez ci-dessous un document attestant de ses décorations ainsi qu’une copie d’un discours prononcé lors de ses funérailles.
« Notre « Général » est mort
« Mon Cher ami, que de souvenirs vous évoquez » m’écrivait le Général Guérisse, en réponse à mes vœux de meilleurs santé pour 1989. Le dimanche 26 mars, il décédait, sans éclat, après avoir exprimé la volonté que son décès ne soit connu qu’après ses funérailles. Hélas, ce ne pouvait passer inaperçu !
Deux livres ont à peine suffi pour retracer cinq années de ce médecin militaire, devenu Pat Lieutenant commander de la Royal Navy, puis agent parachutiste, chef de réseau d’espionnage et de récupération ; sa vie entière, suite à son décès, a fait l’objet d’articles dans les journaux.
« – Et ensuite, après 1945, qu’avez-vous fait ?
– Rien
– Demandez-lui ce qu’il est allé faire en Corée, fit sa femme Sylvia ; Pat éclata de rire : « Le bataillon des volontaires belges avait besoin d’un médecin.. ; j’étais médecin, j’étais belge » (in « l’histoire de Pat O’ Leary » par Vincent Brome).
Etait-ce si peu d’être volontaire, d’avoir été rechercher un blessé à moins de 150 mètres des lignes ennemies, sous une grêle de balles, puis de rejoindre le bataillon, immédiatement, en hélicoptère ? (N.D.L.R. Le même fait m’a été raconté par le Dr Paul Maquet, d’Aywaille, qui se manifestait dans notre dernière édition)
Je n’évoquerai que nos relations personnelles, l’homme.
En 1938, alors que tous les Spadois de ma génération vivaient au rythme du 1er régiment des Lanciers, milicien à Liège, la maladie m’empêchait de rejoindre le régiment. Mon « parrain militaire », l’aumônier Gielen me l’envoya. Nous ignorions, qu’en 1964, nous devrions tous deux unir nos efforts pour lutter contre l’injustice qui s’acharnait contre mon protecteur de jadis (cité comme l’un des premiers résistants et qui mourut, abandonné de tous, à Bayonne, en 1974).
Le 8 avril 1951, le Commandant Guérisse, bientôt Major, m’arrivait à Tokyo, logeant avec moi à la Mission. Nous nous promenions dans Tokyo et ses environs, passions une soirée mémorable (défiant l’alcooltest !), avant son départ pour la Corée, où il rejoignit son ami Poswick. Il revint en permission, après le combat de l’Imjin, préférant vivre parmi les combattants et visiter les hôpitaux.
Il parlait très peu de la grande guerre, un souvenir douloureux le liait à Spa, il ne fréquentait guère les hautes autorités. Le hasard le fit rencontrer le commandant des Forces du Commonwealth, Sir Robertson, d’habitude impassible, stupéfait devant les rubans des G.C. –B.S.O. – K.B.E. sur un uniforme belge !
Le 21 août 1951, nous étions heureux de nous retrouver au camp d’Inchon, où 450 hommes attendaient leur rapatriement. Vint le soir, « je m’ennuie, impossible de sortir du camp, pas de véhicule », une solution, utiliser ma Jeep pour lui et le commandant Nicodème ; mais, si tard, Inchon se révélait un désert. « Les Grecs vont venir, si nous voulons prendre un verre, il faut rentrer, mais… il n’y a pas de glace pour le wisky, si nous allions en chercher à la morgue ? »… elle était fermée ! Au camp, fête des adieux, les officiers grecs chantaient sur les tables et le Major Guérisse voulait leur apprendre les cramignons liégeois !
Nous ne pensions guère nous revoir cependant, en 1968, nous appartenions au QG des F.B.A. en Allemagne, il soignait ma famille et nous égrenions nos souvenirs. C’était pour nous retrouver dans son bureau, proche du mien, au ministère de la défense Nationale, lui devenu Général, Directeur du service de la Santé, pour prendre le café. Nous n’étions pas loin de la retraite mais il n’avait jamais perdu sa combativité : « J’améliore la situation, mais j’enrage, trop de papiers, peu de fonds pour arriver à mes fins.»
C’est à tout cela que je pensais, ce 3 avril, en me rendant au crematorium de Bruxelles, mais sa volonté avait été respectée, il ne restait que des cendres, je ne pus assister à leur dispersion sur la pelouse.
Ainsi finissait UN GRAND HOMME »
Le Commandant Dourte a, en effet, joint une copie de l’avis nécrologique mentionnant les illustres décorations décernées au
Général-Major Médecin Comte Albert Guérisse, alias Pat O’Leary :
Lt Commander Royal Navy
Chef du réseau d’évasions « Pat »
Médecin volontaire du Bataillon Belge en Corée
Président du Comité International de Dachau

– Georges Cross (G.C.)
– Knight Commander of the British Empire (K.B.E)
-Compagnion of the Distinguished Service Order (D.S.O.)
-Grand-Officier des ordres de léopold et de la Couronne
– Commandeur de l’Ordre de Léopold II avec Palmes
– Croix de guerre 1940 – 1945 avec Palmes
-Officier de la Légion d’Honneur
– Croix de guerre Française avec Palmes et Etoile de vermeil
– Officier de la legion of Merit
– Medal of Freedom with Golden Palms
– Croix d’Honneur et de Mérite Militaire en Vermeil avec Palmes
– Chungniu Distinguished Military service Medal with Silver Star

Assurément un Grand Homme… La Petite Gazette est heureuse d’avoir, grâce à vos contributions, participer à cultiver son souvenir.

La Petite Gazette 23 juin 2010

DOCTEUR GUERISSE : UNE CONFIRMATION ET UNE PRECISION
Monsieur J. Schoonbroodt, de Spa, a lui aussi tenu à témoigner :
« Je vous confirme que le général Guérisse a été affecté au 1er lanciers à Spa, avant la guerre de 1940. A cette époque, il était officier médecin.
En mai 1939, il a accouché mon épouse d’un garçon dont le père, policier spadois et résistant, est décédé en avril 1945 dans le camp d’extermination de Flossenberg. »

La Petite Gazette du 14 juillet 2010

LE DOCTEUR GUERISSE… ENCORE
Monsieur Claude Billiet, de Lierneux, est un ancien combattant de la Guerre de Corée, il a la gentillesse de nous transmettre cette photo de la maison qu’occupa Albert Guérisse à Spa et sur laquelle a été apposée une plaque commémorative.

docteur guérisse maison

 Maison où résidait le comte Médecin Général Albert Guérisse à Spa. Il est un des plus grands bienfaiteurs pour la cause des volontaires pour la Corée en même temps que le colonel Cdo Para Jean Militis.

(Document Revue de la fraternelle des anciens de Corée, section province Luxembourg)

5 réflexions sur “Le Docteur Comte Albert Guérisse

    1. Albert Guérisse is (was ) my great uncle . On the plate is written » » » Here was (live ) Albert guérisse . Officer and doctor in the’ Battalion of Coréa’ . Pat o ‘leary (his English name ) In the résistance and in the dead camp to Dachau . Lord general major doctor , citizen of honor in Spa. SORRY MY INGLISH IS NOT GOOD XD

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    1. Bonjour Marion,
      Malheureusement, je n’ai, à ce jour, aucune autre information supplémentaire ne nous est parvenue. Evidemment, si d’autres renseignements nous étaient adressés, je m’engage à les publier sans tarder.
      Bien à vous.
      Très cordialement, pour la Petite Gazette, René Henry

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  1. Avez-vous essayé de contacter le fils d’Albert, Patrick? le dernier contact que j’ai eu pour lui a été 003224 772001 et https://www.chu-brugmann.be/fr/news/20060301-brien-osiris.asp
    il m’a répondu une fois mais je n’ai pas réussi à voir les médailles de son père que j’aimerai beaucoup. Si vous avez du succès, faites-le moi savoir et vous pourrez bien sûr mentionner mon nom.
    ans marion hebblethwaite
    marionhebblethwaite.co.uk

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